dimanche 9 mars 2008

Qui sommes nous ???

Bonjour

Je suis Peter Mittig - chargé des contacts internationaux et de la coordination de la première association égyptienne protectrice des animaux, appelée SPARE.

Etant un ancien résident du Caire, je ne peux qu’admirer les rôles très nobles, d’Amina Abaza, en tant que fondatrice et présidente de SPARE, qui finance la grande partie des opérations avec ses propres fonds et ses revenus, de Mona Khalil, du Dr Ahmed et du Dr Islam, vétérinaires du centre, ainsi que des 12 autres personnes qui travaillent pour SPARE dans leur refuge pour animaux. L'Égypte est une destination touristique réputée, mais elle manque d'un cadre juridique sérieux pour empêcher les abus contre le droit des animaux, les tortures, les mises à mort et les empoisonnements. SPARE dépend des donations et de la bonne volonté venant de l'étranger – de ce fait, considérez, s'il vous plaît, ce courrier comme ma demande personnelle pour donner un petit - ou un plus important – coup de main, pour aider ce groupe exceptionnel et leurs animaux.

10 € permettent de nourrir un chat et 15 €, un chien, pendant un mois, 30 € sauvent la vie d'un âne ou permettent de payer la stérilisation de deux chats ou de deux chiens. Avec 50 €, on paie les dépenses d'une journée complète d’un vétérinaire et ses déplacements dans le pays quand on a besoin de lui : par exemple la guérison et le traitement d'un chien qui a été torturé. Une partie importante du travail de SPARE consiste en l'éducation des enfants et des adultes, ainsi que la couverture médiatique concernant la nécessité de changer de comportement envers les animaux. Il y a amis influents qui aident SPARE, comme Philip Wollen, élu « Australien de l'Année 2007 », qui est à la tête de la Société philanthropique http: // www.kindnesstrust.com, mais nous avons besoin de plus de couverture et de donateurs.

Actuellement SPARE dispose d’une fourgonnette spécialisée pour porter secours aux ânes. Il serait important de bénéficier d’un financement pour l’achat d’une deuxième voiture qui serait une unité de stérilisation mobile. N'importe quelle somme est la bienvenue - mais aussi la transmission de ce courrier à vos amis et associés qui ont de l’affection pour les animaux. Merci d'envoyer les donations à SPARE ou de faire votre donation à spare-international@orange.fr via Paypal.

Merci d’avance pour votre assistance.


LE DROIT DES ANIMAUX EN EGYPTE

L'Abolitionniste a eu un entretien avec Mona Khalil, de la Société pour la Protection des Animaux en Egypte (SPARE) au sujet des cas urgents concernant le droit des animaux, et les sauvetages qu’ils doivent actuellement réaliser en Egypte.

C’est pourquoi SPARE aimerait s’occuper davantage encore des animaux handicapés : parce qu'ils en voient un tel nombre au Caire, mais ils manquent toujours de moyens pour mener ce projet à terme. Les lecteurs de l'Abolitionniste peuvent-ils aider SPARE en faisant une donation ?

L’Abolitionniste : Nous voulons tout savoir au sujet de la Société Protectrice des Animaux en Egypte (SPARE). Parlez-nous de tout le travail qu’ils font.

Mona Khalil : la Société Protectrice des Animaux en Egypte (SPARE) a été fondée en 2001. Nous sommes un organisme reconnu d’utilité publique en Egypte. Il a été fondé par Mme Amina Abaza. En bref, SPARE s’occupe de tous les animaux. Nous oeuvrons pour les animaux de compagnie, pour les chevaux, pour les animaux des zoos et des cirques. SPARE est impliqué dans tout ce qui est en relation avec les animaux.

L’Abolitionniste : quels problèmes spécifiques SPARE affronte-t-elle vraiment ? Par exemple, l'Egypte a-t-elle un problème de chiens abandonnés dans la rue ?

Mona Khalil : Cela fait maintenant de nombreuses années que nous avons un sérieux problème avec les chiens égarés et sans foyer dans les rues en Egypte. Le Gouvernement traite ce problème de deux manières : il y a l’Autorité Vétérinaire d’Egypte qui a utilisé l'empoisonnement pour contrôler la population de chiens et chats égarés ; et nous avons aussi le Ministère de l’Intérieur qui a crée un département chargé des mises à mort par balles. Le poison utilisé est de la strychnine, qui est normalement interdit, mais malgré tout importé d'Inde. Cela devient très dur pour nous à SPARE, parce que tous les 3 mois, il y a une campagne de crise où le gouvernement fait tirer sur les animaux. Ils coupent alors les queues des chiens morts pour compter combien ils en ont tué en un jour!

L’Abolitionniste : Comment SPARE fait-il pression contre cela ?

Mona Khalil : Cela fait maintenant de nombreuses années que nous militons contre ces politiques. Nous avons fait plusieurs demandes d’aide à des organisations internationales, parce que nous n’avons pas les moyens d’avoir un programme de stérilisation sur place. Nous avons aussi besoin de formations pour les vétérinaires qui travaillent avec nous. La plupart des vétérinaires sont issus de la Faculté de Médecine Vétérinaire, et ne sont pas vraiment familiarisés avec cette technique.

Nous avons essayé de convaincre le gouvernement qu’à long terme, l'empoisonnement et la mise à mort des animaux égarés ne sont pas une solution au problème. Nous devons appliquer le programme de stérilisation qui sera la solution à long terme, mais jusqu'à présent nos efforts ne les ont pas encore convaincus que c'est la meilleure manière de procéder. SPARE a accompli plusieurs programmes spécifiques dans certaines régions, mais malheureusement dans la majorité d’entre elles, le Gouvernement est arrivé et a tiré sur tous les animaux stérilisés.

L’Abolitionniste : SPARE a une clinique équine mobile, en avez-vous aussi une pour les chiens?

Mona Khalil : la clinique mobile ne sert que pour les ânes. Nous n'en avons pas encore pour les chiens. Nous avons reçu une donation de certains de nos amis aux États-Unis et en Allemagne, mais c'a été dirigé vers les ânes. La clinique mobile est destinée aux ânes qui ont subi un dur labeur, la torture et toutes sortes de blessures. Cela concerne les régions à forte démographie, où il y a des ânes qui tirent des chariots et des voitures.

L’Abolitionniste : SPARE possède-t-elle un abri pour les ânes ?

Mona Khalil : Oui, nous avons un vrai refuge où nous logeons des chiens et des chats. Certains des ânes que nous avons pris ou dû acheter à leurs propriétaires, ne sont pas censés retourner travailler à nouveau. Amina a consacré une partie de sa propre ferme, pour en faire un havre pour ânes, et en ce moment, 21 ânes y sont logés. Le problème avec notre abri, c’est que le terrain que nous utilisons en ce moment est loué. Si dans moins de 3 ans SPARE ne réussit pas à acheter le terrain, nous et nos 123 chiens et 45 chats nous serons dans la rue.

L’Abolitionniste : Quelle est la situation avec les chats de l'Egypte ? Les Égyptiens ont-ils généralement des chats et des chiens comme animaux de compagnie ?

Mona Khalil : Oui nous avons sans aucun doute des Égyptiens qui possèdent des chiens et des chats mais vous constaterez que ces animaux ont une valeur marchande. Vous trouverez les gens de la très haute société qui aiment vraiment des animaux, et ils possèdent donc des chiens et des chats ; mais d’autres ont des animaux comme signe d’appartenance à une classe sociale aisée. Pour les gens qui sont riches, qui possèdent des maisons de campagne et des propriétés, cela fait partie de l’image sociale d’avoir un chien dehors dans leur jardin. A l’opposé, vous trouverez les très pauvres gens vivant sur la périphérie de Caire et des grandes villes, qui ont l’habitude de laisser un chien abandonné errer à proximité de leur maison et ils le nourrissent de temps à autre comme s’il était le leur.

Beaucoup d'étrangers croient que la position de chats en Egypte est liée au fait que nous avons une Déesse chatte, Bastet, et que, de ce fait, les Égyptiens aiment les chats. Ce n'est pourtant pas vrai.

L’Abolitionniste : que dit le Coran sur les enseignements du Prophète concernant les animaux ?

Mona Khalil : Nous avons deux sources importantes d’enseignements. D'abord il y a le Coran, et ensuite il y a les Enseignements Prophétiques qui sont une source de réflexion pour les Musulmans. Tous les deux déclarent très clairement que toutes les créatures – les humains, les animaux et les végétaux – doivent être traitées avec la plus grande clémence. Vous ne devez pas leur faire mal ou les détester. Pour un Musulman il y a aussi certaines règles strictes pour abattre – c’est ce qu’on appelle « Halal » –.

L’Abolitionniste : je sais que SPARE a eu des inquiétudes récemment - le commerce du vivant avec exportation en provenance d’Australie vers l’Egypte.

Mona Khalil : Oui, nous avons de sérieuses inquiétudes à ce sujet.

L’Abolitionniste : les reportages que nous avons vus des abattoirs montrent qu’ils ne sont certainement pas « halal ».

Mona Khalil : c'est vrai.

L’Abolitionniste : Quelle est la différence entre halal et kascher ?

Mona Khalil : Pour les Musulmans il n’est pas nécessaire qu’une personnalité religieuse fasse l’abattage elle-même. Il est en revanche nécessaire de savoir comment abattre un animal conformément aux préceptes religieux. L'animal ne doit pas voir un autre animal être abattu. L'animal ne doit pas être tiré, frappé ou blessé avant l'abattage. L'animal doit être bien nourri et doit avoir bu suffisamment avec d’être abattu. L'animal ne doit pas voir le couteau, ne doit pas voir ou sentir le sang ou entendre l’affûtage d’un couteau. L'abattage lui-même doit être une coupe droite directe, très rapide et une coupe seulement ; la personne accomplissant l'abattage doit être vraiment entraînée pour cela. Nos religieux exigent que la personne qui abat attende le temps que l'animal soit complètement mort, avant de commencer à le dépecer. La personne prenant la vie de l'animal doit aussi prononcer le Nom de Dieu au-dessus de l'animal au moment de la mort. Dans l'Islam on interdit de chasser pour le plaisir. Il est interdit pour tirer sur les oiseaux, les oies ou les canards ou de tuer n'importe quel animal juste pour le plaisir, comme un sport.


L’Abolitionniste : l'Egypte a-t-elle des cirques ?

Mona Khalil : Oui nous avons cela.

L’Abolitionniste : est-ce que SPARE y a fait des enquêtes ou des inspections?

Mona Khalil : Oui nous en avons fait et c'est horrible.

L’Abolitionniste : quels genres d'animaux sont ainsi piégés dans les cirques égyptiens, Mona ?

Mona Khalil : les animaux que vous trouverez dans un cirque égyptien sont principalement des lions, des éléphants, des tigres, des chiens, des singes et des ânes.

L’Abolitionniste : Est-ce qu’on proteste beaucoup à l'extérieur des cirques en Egypte ?

Mona Khalil : Cela n’est pas encore un domaine où nous avons investi notre temps limité et nos ressources. Nous avons pris des contacts avec les propriétaires de cirque pour essayer de faire en sorte que les conditions des animaux dans le cirque commencent par s’améliorer. L'idée de refuser un cirque en manifestant contre lui est totalement inconnue dans notre société. Nous avons essayé de travailler avec les gens du cirque mais malheureusement ils ne veulent pas du tout coopérer. En plus de cela nous avons appris que les propriétaires de cirque produisent aussi des animaux et qu’ils vendent ensuite cette race, et donc le cycle continue.

L’Abolitionniste : Comment est financé SPARE ?

Mona Khalil : 75 % de tout le financement de SPARE vient d'Amina elle-même. Elle a sacrifié tout qu'elle possède à la mise en place de notre abri et c’est sur cela que nous avons compté jusqu’à présent. Nous ne savons pas pour combien de temps encore elle sera en mesure de le faire. Nous dépendons uniquement des donations et financements privés ou de n’importe quelle organisation intéressée. Ce n'est pas encore très clair pour nous de savoir quel est notre avenir, mais c'est très dur pour nous et évidemment pour les animaux. Il y a eu des périodes où nous n'étions même pas sûrs de pouvoir continuer le mois suivant.

L’Abolitionniste : Combien de bénévoles SPARE a-t-il vraiment ?

Mona Khalil : Nous n'en avons pas un grand nombre, mais chacun des bénévoles est très impliqué dans ce qu’il doit faire. Il doit l’être sinon il ne pourrait pas travailler. Nous avons environ 50 membres à l'intérieur et à l'extérieur de l'Egypte. À présent nous nous concentrons sur l’adoption des animaux dans des familles d’accueil, ainsi que l’appel à des bailleurs de fonds. Nous écrivons aussi des courriers et nous occupons du site internet. Tous les membres ici en Egypte sont directement impliqués dans le bon fonctionnement du refuge. Nous avons des tableaux de service et nous sommes tous impliqués dans les promenades des animaux, l'aide apportée aux vétérinaires à l'intérieur de la clinique ou lors des sorties avec eux dans la clinique mobile. Quelquefois les volontaires sont même impliqués dans l'éducation indirecte. Quand les gens arrivent à la clinique nous leur expliquons ce qui est juste et comment ces animaux devraient être traités, que ce soit un chien, un chat, un âne, un cheval, une chèvre ou un mouton!

SPARE agit dans une zone rurale très pauvre et beaucoup de gens dans les environs sont des fermiers qui ne peuvent pas payer pour un traitement médical pour leurs animaux. Souvent ils ne font que négliger l'animal. Nous sommes le dernier recours et nous essayons de former ces fermiers à un traitement acceptable de leurs animaux. Nous avons aussi instruit des fermiers en offrant le traitement médical gratuit et nous commençons à acquérir une très bonne réputation dans ces secteurs, réputation dont nous sommes fiers. Il y a de nombreuses personnes qui viennent maintenant à notre abri, ce qui entraîne plus de travail dans le secteur de l’éducation.

L’Abolitionniste : Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Mona Khalil : Oui. J'aime dire aux gens qui vous lisent que les quelques sociétés pour les animaux en Egypte vivent sur leurs propres fonds. Nous n'avons aucun appui, nous n'avons aucune aide. Nous sommes nouveaux malgré le fait que nous existons depuis 2001. Nous voulons faire plus mais nous avons besoin de l'aide d'organisations internationales et de gens disponibles et intéressés pour nous soutenir financièrement dans nos efforts.

SPARE travaille au Caire, et même là nous ne couvrons que la moitié de Caire. J'ai horreur de penser à ce qui se passe dans l’autre moitié de la ville, que nous ne pouvons pas couvrir ou y donner un coup de main. Nous avons certainement besoin de la pression internationale pour fonder un Droit des Animaux, dont nous avons besoin en Egypte pour aider ces animaux. Ils doivent être pris au sérieux et nous devons demander aux pays civilisés de nous aider à faire pression en faveur du droit des animaux. Cela ne pourra pas se faire sans les régions civilisées et les nations ne s’élèvent courageusement contre ce qui arrive aux animaux en Egypte ou ce qui arrive à leurs animaux en Egypte.

L’Abolitionniste : avez-vous remarqué qu'il y a eu une action de la part des étrangers vivant en Egypte qui ont des animaux ?

Mona Khalil : les Étrangers qui ont leurs propres animaux et vivent au Caire viennent et nous rendent visite à notre refuge. Ils viennent chercher une assistance médicale ou parfois ils viennent même pour adopter un animal. Beaucoup d’entre eux essaient de nous apporter de l’aide. Il y en a cependant très peu qui sont enclins à travailler pour des animaux une fois qu'ils retournent à la maison, dans leur propre pays, comme nos amis aux EU, en Allemagne et l’organisation « Animals Australia ».

Alors nous sommes présentés à Butch, le chien handicapé de la Société Protectrice des Animaux en Egypte. Lisez son histoire. Nous sommes à la recherche de ces fauteuils roulants pour chiens, très à la mode ; nous pouvons donc envoyer notre soutien à SPARE ou au moins les aider à aider certains des animaux handicapés qu’ils voient chaque jour. Contactez-nous à : info@abolitionist-online.com si vous voulez faire don d'un fauteuil roulant.

BUTCH A BESOIN D’UN FAUTEUIL ROULANT, par Mona Khalil, SPARE

Il y a un mois, une dame est venue à notre abri avec un chien qui semble être un croisement entre un Mastif et un Rotweiller ou un labrador, nous n’en sommes pas vraiment sûrs. De toute façon, elle a dit qu'il s’est coincé entre les portes en fer en essayant de la suivre à l’extérieur ; il était évident qu'il ne pouvait pas utiliser son arrière-train, nous avons fait un rayon x à la faculté car nous n’en possédons pas dans notre clinique, et le vétérinaire a dit qu’il n'y avait rien à faire, et quand j'ai demandé s’il avait la moelle épinière brisée ou autre chose, il a dit que les nerfs n’ont pas été affectés. J'ai donc dit que nous pouvons chercher une alternative, mais il ne nous a pas même donné l'occasion d’en discuter. Comme SPARE est un refuge où l’on ne tue pas les animaux, nous avons décidé de chercher une solution. Nous savons que les animaux handicapés dépérissent parce qu'ici nous manquons d’expérience et de ressources financières pour nous en occuper, nous avons vu que beaucoup d'animaux meurent sans aucune autre raison que le manque d'argent et de vétérinaires expérimentés. Mais j’ai décidé que Butch ne serait pas l’un d’entre eux. C’est un mâle de presque 2 ans et sa volonté de vivre se voit clairement dans ses yeux. Nous essayons la thérapie et ce n'était pas facile de trouver un thérapeute habitué à travailler sur des gens qui accepte de venir et de travailler sur un animal. Enfin, nous essayerons d’appliquer l'acupuncture. Un médecin portugais a généreusement accepté de bon cœur de le faire, bien qu'il ne traite que les gens, mais il a dit que le sauvetage d'une vie vaut le coup. Les propriétaires de Butch ne peuvent pas se permettre de le garder dans cette condition ni payer ces dépenses, SPARE est attentif à cela en ce moment, mais c’est très dur d’affronter ces dépenses mensuelles, qui se situent entre 200 et 250 dollars par mois, presque le coût de 3 chiens. J'ai peur que les rares ressources financières nous fassent perdre la bataille pour Butch.

Dieu Merci, un de nos jeunes ouvriers qui aime les animaux s'occupe vraiment de lui, il m'a entendu parler à notre vétérinaire au sujet des solutions pour trouver une chaise roulante pour Butch. 3 jours plus tard je suis allé à l'abri et j’ai été stupéfaite de trouver un BUTCH très heureux de MARCHER, bien que ce soit très primitif mais Mohamed a réussi à lui donner quelque chose qui le rend vraiment heureux, et Mohamed m'avait simplement entendu parler d'une chaise roulante, et il l'a faite de sa pensée très naïve. L’histoire de Butch se raconte en de nombreux lieux d’ici, mais ces animaux perdent facilement leur vie pour rien, nous avons vraiment besoin d'un fonds pour des animaux handicapés, nous devons être capables de sauver des vies et nous avons besoin d'organisations spécialisées dans les animaux handicapés pour apporter une aide avait à de petites associations comme nous, nous avons la passion et le souci de soigner, mais avons besoin d’aide.

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